Promotion 1984 : 40 ans après, des retrouvailles...
Rencontre avec Samuel Faure, diplômé de KEDGE, cofondateur de easyVoirie : l'alternative multimarques aux constructeurs
Paru dans Capital en décembre dernier, Samuel Faure (promo 2006) et son cofondateur Sébastien Faïn proposent aux collectivités locales et aux entreprises de collecte et de nettoyage urbain des pièces de rechange au meilleur prix.
Article paru dans Capital le 23 décembre 2021, lire l'article complet ici : https://bit.ly/35cwOB4
easyVoirie existe depuis 7 ans. Comment l’aventure est-elle née ?
Nous nous connaissons depuis le lycée ! Après nos études, l’un a travaillé dans le commerce à l’attention des collectivités locales sur des problématiques terrain, l’autre dans les services Achats de grands groupes internationaux. Nous avons mis à profit la complémentarité de nos profils en nous lançant dans l’aventure entrepreneuriale avec la volonté de dépoussiérer le monde de la voirie et de la propreté urbaine. Spécialisé dans la vente de pièces de rechange pour les véhicules de voirie (bennes à ordures ménagères et balayeuses), easyVoirie propose aujourd’hui dans son catalogue plus de 100 000 références de pièces de rechange multimarques au meilleur prix.
Qui sont vos clients ?
Nos clients se répartissent pour moitié entre les collectivités locales, petites ou grandes (Grand Paris, Lyon, Strasbourg, Rennes, Toulon…) et les entreprises de collecte de déchets et de nettoyage urbain comme Veolia, Suez, Paprec ou le groupe Nicollin. easyVoirie compte à l’heure actuelle plus de 1 000 clients sur l’ensemble du territoire, jusque dans les DROM-COM.
Quelle valeur ajoutée leur apportez-vous ?
Nous régulons le secteur en vendant au juste prix. Sur un marché historiquement dominé par les constructeurs jusqu’à sa libéralisation par l’Union européenne, nous leur permettons de réaliser plusieurs milliers d’euros d’économies par an en coût de fonctionnement. Une vraie plus-value, notamment pour les collectivités qui gèrent de l’argent public. Elles trouvent chez nous des pièces détachées 30 à 50% moins chères que chez les constructeurs ! Concrètement, nos clients nous expriment leurs besoins et notre équipe – une vingtaine de personnes à ce jour – se charge d’y répondre pour leur proposer la pièce recherchée au meilleur prix.
LIRE L'ARTICLE COMPLET PARU DANS CAPITAL
Quel est l’état du marché ?
C’est un marché très technique car, contrairement à l’automobile, il n’y a pas de base de données pour les véhicules de voirie. Cela nécessite donc un savoir-faire et une réactivité éprouvée ainsi qu’un réseau structuré. C’est là une de nos forces puisque nous sommes en mesure de livrer nos clients en 24/48 heures. Pour ce faire, nous travaillons avec des partenaires partout en Europe et disposons à Montélimar d’un entrepôt de plus d’un million d’euros de stock en propre. Nous mettons un point d’honneur à répondre de manière personnalisée à tous nos clients qui apprécient notre disponibilité. La qualité de cette relation est d’ailleurs un des moteurs de notre croissance. De nombreuses recommandations en découlent.
Quelles sont vos perspectives ?
easyVoirie est en très forte croissance. Notre objectif est de doubler notre chiffre d’affaires d’ici 2024 et de conforter notre place de leader français sur les pièces détachées pour véhicules de voirie. La marge de progression est très importante car nous sommes encore loin d’avoir atteint le potentiel du marché que nous estimons à 5 000 clients. Pour l’heure, nous continuons donc à structurer le marché français avant d’attaquer le marché européen.
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