Je suis une femme britannique travaillant dans les affaires publiques pour une société pharmaceutique mondiale, avec une expérience de 15 ans dans la philanthropie et le caritatif. J'ai passé une grande partie de ma carrière en dehors du Royaume-Uni - dont 5 ans à Paris - mais je me suis maintenant installée chez moi à Londres.

Je vivais à Paris à l'époque et je cherchais un Executive MBA connu et flexible sur les dates. Pour être honnête, j'avais aussi besoin d'un coup de pouce de l'équipe des admissions car je manquais de confiance en moi à l'époque. De plus, le financement du cours aurait été impossible sans le support de l’équipe d’admission et une généreuse bourse « Women in Business » qui m'a été accordée sur les frais de scolarité. Après réflexion, je suis heureuse d'avoir suivi le cours en France parce que je crois que j'ai eu l'occasion de grandir davantage et de mieux me connaître tout en étant en dehors de mon pays d'origine et de ma zone de confort.

Avant de faire mon EMBA, j'appréhendais beaucoup le changement, surtout au travail. J'avais l'impression que dès que je m'étais habituée au statu quo, quelque chose se mettait à changer - et je devais alors tout réapprendre. Les derniers mois du MBA se sont déroulés pendant la pandémie, et nous avons dû effectuer nos cours en ligne. Je crois que la combinaison de l'excellent support de coaching de KEDGE, de l'état d'esprit de croissance dû au cours et de la mise en pratique de ce que j'avais appris durant les séminaires, a fait que j’ai pu m’épanouir en dépit de cette période. J'ai maintenant appris non seulement à accepter le changement, mais aussi à l'accueillir positivement. C'est une expression un peu éculée, je sais, mais la seule certitude dans la vie, c'est le changement. Je suis certaine que ce changement d'attitude est dû au cours du MBA, et je me sens très bien placée aujourd’hui pour faire face aux transitions à court et à long terme qui arrivent quotidiennement dans le monde professionnel.

Je pense qu'il est important de reconnaître les énormes opportunités et perturbations que la numérisation continuera d'apporter à tous les aspects de nos vies. Mais l'importance du capital humain ne doit pas être minimisée. Les cultures d'entreprises qui valorisent l'empathie et respectent leurs employés sont des lieux de travail formidables - et la performance de l'entreprise reflète souvent cela. Quand je regarde ma propre carrière - et celles de mes amis, de ma famille et de mes pairs du EMBA - la culture est tout. Si nous pouvons trouver un moyen d'exploiter la numérisation tout en gardant le collaborateur au centre du lieu de travail, cela va continuer à être une combinaison gagnante pour les entreprises. Je dois mentionner mon employeur ici, Roche, car nous avons une culture de travail incroyable et nous adoptons également la numérisation, au final pour de meilleurs résultats pour les patients: les deux choses ne s'excluent pas mutuellement.

J'ai changé de secteur et décroché un rôle que je voulais depuis longtemps ! L’EMBA a été un accélérateur de développement de mes compétences, bien sûr, mais aussi de ma confiance en moi. Dans le secteur caritatif, j'ai passé une grande partie de ma carrière à travailler avec d'autres femmes qui ont des compétences similaires aux miennes. Être sur le cours de MBA m'a exposé à des personnes de secteurs, d'horizons, de niveaux d'expertise et d'ancienneté totalement différents, et cela m'a montré où sont mes forces. Bien sûr, il y a des domaines où mes connaissances techniques font définitivement défaut, mais je sais que je suis excellente avec les gens et que j'ai d'autres compétences clés qui me soutiendront dans mon parcours chez Roche. L’EMBA a honnêtement eu un impact profond sur ma vie - professionnelle et privée - et je ne peux que le recommander à ceux qui envisagent d'en entreprendre un. N'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus sur l'Executive MBA de KEDGE.